J'aimerais pouvoir justifier mon absence ici en vous disant que j'ai organisé un sublime anniversaire pour les six ans de Pichoune, que j'ai concocté un magnifique calendrier de l'Avent pour mes enfants, que je suis en train de fomanter un superbe projet dont je ne peux pas encore vous parler ou encore que je suis partie en voyage.
Certes, j'ai beaucoup travaillé, nous avons fêté ses six ans trois fois et je prépare, tout doucement, ma venue sur Paris pour le spot des E-fluent Mums and Dads.
La vérité est que notre quotidien est ponctué de devoirs à faire, de séances d'orthophoniste, de rendez-vous chez le dentiste, de réunions le soir, de traitements anti-poux, de changement de banque en cours, de papiers, de formalités, de ménage, de rangement mais aussi de moments rares où nous profitons de la douceur exceptionnelle de ce mois de novembre qui s'achève déjà.
Alors, pour arrêter le temps, je l'écoute lire toute seule, je le regarde jouer, je les entends se disputer le même jouet, je me dis que ce n'est pas bien grave si la lettre au Père Noël n'est pas encore faite, je me demande si on ne devrait pas lui dire qu'il n'existe pas, j'oublie en un rien de temps ce qu'il s'est passé la semaine écoulée tellement j'essaie de ne pas oublier toutes les dates importantes qui vont arriver et je pars dans mes pensées sans savoir m'arrêter.
Mon esprit est encore plus alambiqué que ce billet ne l'est. Je serai tout à fait capable de rentrer à la maison mardi soir au lieu de me rendre à la gare. Je suis en pilote automatique. J'espère ne pas me crasher avant la fin de l'année !
Certes, j'ai beaucoup travaillé, nous avons fêté ses six ans trois fois et je prépare, tout doucement, ma venue sur Paris pour le spot des E-fluent Mums and Dads.
La vérité est que notre quotidien est ponctué de devoirs à faire, de séances d'orthophoniste, de rendez-vous chez le dentiste, de réunions le soir, de traitements anti-poux, de changement de banque en cours, de papiers, de formalités, de ménage, de rangement mais aussi de moments rares où nous profitons de la douceur exceptionnelle de ce mois de novembre qui s'achève déjà.
Alors, pour arrêter le temps, je l'écoute lire toute seule, je le regarde jouer, je les entends se disputer le même jouet, je me dis que ce n'est pas bien grave si la lettre au Père Noël n'est pas encore faite, je me demande si on ne devrait pas lui dire qu'il n'existe pas, j'oublie en un rien de temps ce qu'il s'est passé la semaine écoulée tellement j'essaie de ne pas oublier toutes les dates importantes qui vont arriver et je pars dans mes pensées sans savoir m'arrêter.
Mon esprit est encore plus alambiqué que ce billet ne l'est. Je serai tout à fait capable de rentrer à la maison mardi soir au lieu de me rendre à la gare. Je suis en pilote automatique. J'espère ne pas me crasher avant la fin de l'année !
Ah non tu fais pas ta relou. Tu viens mardi !!!
RépondreSupprimerJe dois également prendre le train après mon travail mardi soir, et justement j'ai rêvé cette nuit que j'allais chercher les enfants à l'école !
RépondreSupprimerHâte de te rencontrer !
Le train mardi soir ! Le train mardi soir ! Le train mardi soir !!!
RépondreSupprimerah non non non mardi -------- LA GARE !!!! courage, des bisous !!!
RépondreSupprimerhâte de te voir mercredi ! bisous
RépondreSupprimerBah au moins grâce à toi je me dis que je ne suis pas la seule blogueuse "irrégulière" ;-) !
RépondreSupprimerN'oublie pas ton train et laisse la croire au Père Noël ! Bises et à mercredi (n'oublie pas que j'ai le droit de faire l'huître !).
J'aurais du venir ici avant les Efluent ! Zut zut zut! Ici aussi le soir c'est les devoirs ... et je me dis patience ce n'est que le début.
RépondreSupprimerIl croit encore au Père Noël et je voudrai que ça dure toujours ...
Gros bisous